De l'agriculture intensive ....
Posté : 19 févr. 2018, 07:37
Le président l'avait promis : L'élevage intensif des volailles pour la production d'oeufs sera interdite d'ici à 2022.
Une bonne nouvelle pour les poules directement, et pour nous aussi, indirectement ! ... Voire ...
Nous en sommes arrivés au point que les productions de l'agriculture intensive sont périodiquement dénoncées comme nocives à la santé et le "BIO" de faire florès.
Constat simple : Dans notre belle France naguère riche de sa ruralité, nous avons perdu 20% des surfaces cultivables depuis 1950 au profit de l'urbanisation. Parallèlement, le nombre d'agriculteurs et éleveurs s'est réduit comme peau de chagrin (-80%) alors qu'augmentait parallèlement la surface exploitée par chacun (de 20 à 60 ha en moyenne).
Ces chiffres sont alarmants.
Ils inscrivent en chiffre cette cruelle réalité : L'agriculture a commencé sa marche vers l'intensif, inéluctablement et le "bio" n'est à mon sens qu'une bataille d'arrière garde.
En effet, le bio ne suffira jamais à nourrir l'humanité. Il restera réservé aux franges riches des populations ou perdra son âme : Seront qualifiées de "bio" des pratiques qui relèveront de l'agriculture intensive. Ce processus est déjà commencé, me semble-t-il.
Ces propos sont-ils alarmistes ? Sans doute.
Existe-t-il des solutions ? ... La seule que je perçoive est une dénatalité pas encore programmée !
Et j'attends le point de vue de l'ami Tad qui très certainement en a un. (Quand il en aura fini avec les J.O.
)
Une bonne nouvelle pour les poules directement, et pour nous aussi, indirectement ! ... Voire ...
Nous en sommes arrivés au point que les productions de l'agriculture intensive sont périodiquement dénoncées comme nocives à la santé et le "BIO" de faire florès.
Constat simple : Dans notre belle France naguère riche de sa ruralité, nous avons perdu 20% des surfaces cultivables depuis 1950 au profit de l'urbanisation. Parallèlement, le nombre d'agriculteurs et éleveurs s'est réduit comme peau de chagrin (-80%) alors qu'augmentait parallèlement la surface exploitée par chacun (de 20 à 60 ha en moyenne).
Ces chiffres sont alarmants.
Ils inscrivent en chiffre cette cruelle réalité : L'agriculture a commencé sa marche vers l'intensif, inéluctablement et le "bio" n'est à mon sens qu'une bataille d'arrière garde.
En effet, le bio ne suffira jamais à nourrir l'humanité. Il restera réservé aux franges riches des populations ou perdra son âme : Seront qualifiées de "bio" des pratiques qui relèveront de l'agriculture intensive. Ce processus est déjà commencé, me semble-t-il.
Ces propos sont-ils alarmistes ? Sans doute.
Existe-t-il des solutions ? ... La seule que je perçoive est une dénatalité pas encore programmée !
Et j'attends le point de vue de l'ami Tad qui très certainement en a un. (Quand il en aura fini avec les J.O.
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