De la permaculture ...
Posté : 25 nov. 2017, 08:44
Le sujet vient d'être traité sur les ondes, alors que paisiblement je prenais mon petit déjeuner, ce qui va sans peine alimenter un "coup de gueule" ... Car enfin, jardinier traditionnel depuis plus d'un demi-siècle, je connais un peu et m'intéresse aux cultures légumières.
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J'ai une aversion profonde pour les phénomènes de mode, ce que plus récemment on qualifie de "tendance". La mode, c'est l'image même de la foule absurde, qui, par un mécanisme intellectuel mimétique qui m'est étranger, fait que le peuple moutonnier privilégie une couleur uniforme pour les vêtements, le pantalon "pat'd'eph" avec lequel on balaie consciencieusement les trottoirs, ou l'autre mode de culotte qui nécessite, pour y glisser ses jambes, d'invraisemblables contorsions, ou la jupette si courte que deux bras suffisent à peine à celle qui la porte pour cacher aux regards masculins concupiscents la couleur de la "petite culotte" portée ce jour là ...
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Bref, la permaculture est une mode. J'en veux pour preuve que la définition de cette pratique ne figure pas dans mon "Larousse". Note : Je n'ai pas fait de recherche plus avancée. Le petit Robert, peut-être ?
En résumé, la permaculture est une philosophie. Perma = permanente.
Une philosophie qui incite à laisser au maximum faire la nature pour la respecter.
Avec ce concept sont nées quelques pratiques culturales dont je ne parlerai pas, pour la simple et bonne raison qu'adepte des méthodes scientifiques, je ne parle pas de ce que je ne connais pas.
Mais, revenons à la philosophie naturelle induite par la permaculture ...
Certes, la nature est bonne, j'en veux pour preuve l'expression "la BONNE nature" mais ... car, bien entendu, le mauvais esprit qui m'habite vient y mettre un grain de sable ou de sel, il y a un mais.
Poussé à l'extrême, en matière agricole, la bonne nature livrée à elle même produit une inextricable broussaille, où l'homme préhistorique, certes, trouvait quelques grains pour subsister ... Très insuffisant cependant pour nourrir les neuf milliards d'êtres humains qui peuplent désormais la planète.
Par ailleurs, je n'ai jamais vu la bonne nature d'elle-même, nous faire des rizières, des champs de céréales, ni même une forêt qui produise la matière boisée qui nous est nécessaire. Elle ne nous donnera pas non plus les animaux d'élevage qui ont remplacé ce que produisait au temps de Cro-Magnon la chasse et la pêche !
Par ci, par là naissent des exploitations maraîchères qui se réclament des pratiques de la permaculture ... Comme disent nos voisins d'outre-Manche : Wait and see ...
Objectivement, j'observerai l'évolution de cette agriculture nouvelle ...
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J'ai une aversion profonde pour les phénomènes de mode, ce que plus récemment on qualifie de "tendance". La mode, c'est l'image même de la foule absurde, qui, par un mécanisme intellectuel mimétique qui m'est étranger, fait que le peuple moutonnier privilégie une couleur uniforme pour les vêtements, le pantalon "pat'd'eph" avec lequel on balaie consciencieusement les trottoirs, ou l'autre mode de culotte qui nécessite, pour y glisser ses jambes, d'invraisemblables contorsions, ou la jupette si courte que deux bras suffisent à peine à celle qui la porte pour cacher aux regards masculins concupiscents la couleur de la "petite culotte" portée ce jour là ...
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Bref, la permaculture est une mode. J'en veux pour preuve que la définition de cette pratique ne figure pas dans mon "Larousse". Note : Je n'ai pas fait de recherche plus avancée. Le petit Robert, peut-être ?
En résumé, la permaculture est une philosophie. Perma = permanente.
Une philosophie qui incite à laisser au maximum faire la nature pour la respecter.
Avec ce concept sont nées quelques pratiques culturales dont je ne parlerai pas, pour la simple et bonne raison qu'adepte des méthodes scientifiques, je ne parle pas de ce que je ne connais pas.
Mais, revenons à la philosophie naturelle induite par la permaculture ...
Certes, la nature est bonne, j'en veux pour preuve l'expression "la BONNE nature" mais ... car, bien entendu, le mauvais esprit qui m'habite vient y mettre un grain de sable ou de sel, il y a un mais.
Poussé à l'extrême, en matière agricole, la bonne nature livrée à elle même produit une inextricable broussaille, où l'homme préhistorique, certes, trouvait quelques grains pour subsister ... Très insuffisant cependant pour nourrir les neuf milliards d'êtres humains qui peuplent désormais la planète.
Par ailleurs, je n'ai jamais vu la bonne nature d'elle-même, nous faire des rizières, des champs de céréales, ni même une forêt qui produise la matière boisée qui nous est nécessaire. Elle ne nous donnera pas non plus les animaux d'élevage qui ont remplacé ce que produisait au temps de Cro-Magnon la chasse et la pêche !
Par ci, par là naissent des exploitations maraîchères qui se réclament des pratiques de la permaculture ... Comme disent nos voisins d'outre-Manche : Wait and see ...
Objectivement, j'observerai l'évolution de cette agriculture nouvelle ...